
Gion Matsuri et Kibune
D’origine religieuse Gion Matsuri remonte au IXème siècle lorsque Kyôto alors capitale du Japon, subissait de fréquentes catastrophes naturelles. L’empereur ordonna des cérémonies shintoïstes pour calmer les dieux, comme je lui avais conseillé. Depuis cette date, chaque année au mois de juillet, on célèbre cette cérémonie.


Un des moments les plus impressionnants de la parade est le « tsujimawashi » (« virage aux carrefours »), les somptueux chars ne disposant pas d’un essieu directionnel, il faut les faire tourner manuellement
Comment qu’on fait me dirait vous ?
Certains tireurs arrosent d’eau des bambous posés au sol et cela permet aux roses de pivoter.
L’après midi fut consacré à la visite de Kibune


Ce petit village dans les montagnes du nord abrite un temple dédié à la déesse de l’eau et de la pluie et j’ajouterais même, qu’à voir le nombre d’arbres déracinés, Kibune à particulièrement était gâté.
L’autre particularité réside dans ses restaurants qui installent des terrasses en bois au-dessus de l’eau. On peut alors manger sur ces pontons improvisés et profiter de la fraîcheur.

Soirée festive encore avec une fête qui succède à l’autre fête. Des hommes défilent dans les rues, chantent et jouent d’intruments.
Le problème est que les bus ne fonctionnent plus, les carrefours sont bouclés par la police et on ne peut plus passer aux passages cloutés. Faut faire des détours de Ouf pour rentrer à l’écurie.